Petite rétrospective de mes images de street art lors du premier trimestre de cette année.

L’artiste Ethnik est venu peindre quelques murs du 13e arrondissement, notamment une fresque sur le Retour de la nature avec le concours de la galerie gcagallery.

Le long de la rue Watt, toujours dans le 13e, Ethnik est inspiré par Platon et sa théorie des 5 éléments, l’eau, la terre, l’air, le feu, plus le 5e élément : l’univers.

Etnik – Rue Watt – Universe Element

En passant, il nous décore aussi une armoire électrique en face de la galerie gcagallery.

Le Lavomatik continue à accueillir des artistes pour habiller ses murs. Si la qualité des fresques a tendance à diminuer depuis quelques mois, il y a de temps en temps de petites surprises.

En revenant de l’institut Custodia, nous tombons sur une boîte aux lettres relookée par C215. Je ne connais pas les personnes dessinées, n’hésitez pas à me tuyauter en commentaire.

Non loin de chez nous, C215 a également peint ce papillon sur le mur d’un hôpital privé.

C215

Sur la place Igor Stavinsky, entre Beaubourg et l’église Saint-Merri, Obey et Invader sont venus compléter l’enfilade de pignons déjà occupés par Jeff Aérosol.

Jeff Aérosol, Obey, Invader

Encore une mosaïque d’Invader dans le 12e et une seconde de @_sil_sil au coin de la place sus-dite.

Dans le 12e, au carrefour de la rue du Sahel et de l’avenue du Général Michel Bizot, un mur arrondi accueille une fresque monumentale de Ozmo, inspiré par Rembrandt, représentant Saint-Sébastien connu pour être le saint patron des archers et un peu moins pour être aussi celui de la lutte contre les épidémies. Tiens, il est le bienvenu !

Ozmo, artiste italien, en hommage à Rubens et à son tableau Saint Sébastien, patron de la lutte contre les épidémies

Pour terminer, en changeant de style, deux photos de l’Arche de la fraternité, symbole des liens qui unissent la France aux communautés asiatiques, réalisée par Georges Rousse et inaugurée le 1er février dernier par la Maire de Paris, le Maire du 13e et l’ambassadeur de Chine. C’est une anamorphose en 3d qui figure le signe Mén, ce qui signifie la porte en Chinois.

Elle est située au début de la rue des Frères d’Astier de la Vigerie. Et c’est aussi de l’art de la rue.


1 commentaire

Le premier trimestre du street art — Périples et pérégrinations - DESSIN OU PEINTURE · 1 avril 2020 à 16 h 22 min

[…] via Le premier trimestre du street art — Périples et pérégrinations […]

Laisser un commentaire