Vacances romaines

Cela faisait un petit bout de  temps (35 ans ?) que nous avions envie de (re)voir Rome, nous l’avons fait en ce mois de mai, après avoir choisi une période la plus éloignée possible des grandes célébrations catholiques qui attirent les troupeaux de moutons touristes, des vacances scolaires et des week-ends à rallonge.

Bon ! Rome, comme Paris, semble ignorer la pause touristique, mais il n’en demeure pas moins que c’est une ville magique et … éternelle. Pour le titre de l’article, j’ai hésité entre tous les cheminsles sept collinesunique objet de mon ressentiment … Finalement, rendre hommage au film de William Wyler avec Gregory Peck et Audrey Hepburn m’a paru la meilleure solution puisque ce film est une longue promenade dans Rome et que c’est bien ce que nous avons fait.

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Le Baroque des Lumières

Encore une exposition sympathique à parcourir, cette fois au Petit Palais : Le Baroque des Lumières, sous-titrée Chefs-d’oeuvre des églises parisiennes au XVIIIe siècle. La page du site web du Petit Palais consacrée à cette exposition la présente ainsi :

La peinture française du XVIIIe siècle évoque davantage les raffinements de la fête galante et du portrait que la rhétorique de la grande peinture religieuse. En dehors de la période du Salon, c’est pourtant dans les églises de Paris que l’on pouvait alors admirer la peinture contemporaine : les artistes ne négligèrent donc pas de s’y montrer sous leurs meilleurs pinceaux.

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Portraits d’Orsay

Il n’y a pas que Le Louvre dans la vie, même si les plus belles femmes y sont nombreuses, j’aime aussi aller baguenauder au Musée d’Orsay. Je vous ai déjà raconté mon admiration devant l’exposition consacrée à Frédéric Bazille, mais les collections permanentes sont également très riches d’oeuvres tout aussi intéressantes.

Voici un petit florilège de portraits glanés lors de ces visites. Juste pour la beauté. Certains viennent de l’Orangerie. Je les ai recadrés pour qu’ils présentent tous le même format, ce qui est une interprétation peut-être contestable, mais c’est mon choix. (suite…)

Mes plus belles femmes du Louvre

Je ne suis pas sûr que ma manière de célébrer la journée des droits des femmes (8 mars) soit la plus engagée. Quoique ! Montrer les plus belles femmes du Louvre permet indirectement de faire passer le message que les femmes artistes y sont moins bien représentées que les hommes. C’est un fait qu’au Louvre, on est bien loin  de l’égalité hommes-femmes mais je n’ai pas de statistiques précises. Par contre, parmi les modèles, il y a sans nul doute une meilleure répartition, on peut se consoler avec ces données-là !

Femme se peignant par Salomon de Bray

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Frédéric Bazille, putain de guerre !

Toutes les guerres sont à vomir. Dans l’imaginaire collectif, certaines sont cependant plus héroïques que d’autres, ce sentiment étant scrupuleusement entretenu par ceux qui n’en ont pas souffert et s’y sont enrichis, en vue de bien préparer la suivante.

Par contre, celle de 1870, qui annonçait déjà « La Grande », a été bien ridicule, laissant deux empereurs, pitoyables épaves de l’ancien temps, s’affronter par l’intermédiaire des peuples qui auraient eu bien d’autres choses à faire que s’étriper.

Elle n’a pas duré bien longtemps cette guerre, juste le temps de faire deux à trois cent mille victimes. Parmi elles, un jeune peintre particulièrement talentueux, Frédéric Bazille, qui s’est engagé sans doute par dépit ou pour prouver à sa famille qu’il valait quelque chose… Il est tué lors de son premier assaut.

Le musée d’Orsay rend hommage à Frédéric Bazille

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