Prague aux cent clochers
Petite virée hivernale de quatre jours en Europe centrale, plus précisément à Prague, la capitale tchèque surnommée la ville aux cent clochers, mais aussi la mère de toutes les villes ou bien la ville d’or …
Petite virée hivernale de quatre jours en Europe centrale, plus précisément à Prague, la capitale tchèque surnommée la ville aux cent clochers, mais aussi la mère de toutes les villes ou bien la ville d’or …
Il est bien distrait, ce copiste au Louvre : il a tout oublié chez lui, son matériel et même sa tête (sa mère le lui disait tout le temps …). Mais ce n’est pas grave, le Louvre a envoyé la toile dans les Émirats, il n’y a plus rien à Lire la suite…
On aura noté que j’ai parfois des révélations quand je visite des musées, signe que leur fréquentation nourrit ma culture artistique qui en a bien besoin. J’avais à cette occasion annoncé un article sur l’exposition Bourdelle et l’antique qui m’a bien plu.
Mais depuis la visite du musée Guimet et mon voyage dans les paysages japonais, j’ai foulé les parquets d’une bonne dizaine d’autres temples du savoir pour presqu’autant d’expositions. Et je ne compte pas le muséum national d’histoire naturelle et ses différentes galeries (article à venir) ni le MNBAQ et le musée de la civilisation de Québec (racontés par ici).
Bref, à raison d’un article par visite, j’en ai pour plusieurs semaines à tout narrer, ce qui ne colle pas avec mon emploi du temps surchargé de néo-retraité. J’ai donc décidé de rattraper le retard accumulé en une seule fois sous une forme synthétique.
La preuve en images (je ne poste que quelques images dans cet article, je donne les liens vers ma galerie photos qui en montre d’avantage).
Grande révélation à l’occasion de ma visite au musée Bourdelle. Non, ce n’est pas dans le cadre de l’exposition temporaire « Bourdelle et l’antique » qui fera l’objet d’un article très prochainement. Cette révélation m’est venue en contemplant la sculpture qu’a faite Antoine Bourdelle de son ami et mentor Auguste Rodin et Lire la suite…
Le musée national des arts asiatiques, aussi appelé musée Guimet ou MNAAG pour les intimes, a organisé une exposition proposant un voyage dans les paysages japonais :
À travers une centaine d’estampes japonaises issues du fonds de la collection nationale, dont la célèbre Grande vague de Hokusai (Sous la vague au large de Kanagawa, Kanagawa oki namiura), le MNAAG invitera à un éblouissant voyage, celui de la contemplation du paysage dans son plein épanouissement.
Outre le parcours de l’exposition, ce fut pour moi l’occasion de (re)découvrir ce musée. La preuve en images.
Quatorze ans après notre première visite à Québec, j’y suis retourné pour une semaine afin de donner un petit coup de main à notre fils tout juste émigré dans la capitale de la Belle Province.
D’où le titre : je me suis souvenu effectivement de notre premier passage et Je me souviens est la devise du Québec. Difficile de faire plus subtil, non ?
J’ai donc eu l’occasion de retrouver certains lieux et d’approfondir ma découverte de cette magnifique et très-très sympathique ville.
Le mois de juillet avait commencé, en son premier jour, par la découverte de la maison des Arts et Métiers à la Cité U, bâtiment transformé en fresque géante par une centaine de street-artistes. La suite du mois nous a permis de visiter six musées et de parcourir cinq expositions.
Petit compte-rendu rapide en photos (les liens dans les sous-titres renvoient vers les sites officiels … tant qu’ils resteront valides en ce qui concerne les expositions).
En ce début de mois d’août, nous effectuons une brève visite à Nantes, l’objectif premier étant de découvrir le musée des Arts de la ville, récemment rénové et à nouveau ouvert depuis le 23 juin. La communication dans les journaux a été abondante et attirante, il n’en fallait pas plus pour nous décider à passer deux jours sur les bords de la Loire.
Vous vous rappelez qu’au sortir de l’exposition Le Baroque des Lumières, sous-titrée Chefs-d’oeuvre des églises parisiennes au XVIIIe siècle, nous avions été invités à poursuivre notre visite dans les certaines églises parisiennes, dont celle de Saint-Sulpice.
Le plan de l’église Saint-Sulpice : la Chapelle de la Vierge où se trouvent les chefs-d’œuvre du Baroque des lumières est tout « en haut » de l’église. Par contre, la Chapelle des Saint-Anges est située immédiatement à droite de l’entrée.
À cette occasion, nous avions re-découvert d’autres chefs-d’œuvres de cette église, plus récents que ceux de l’époque du Baroque puisqu’ils ont été réalisés par Eugène Delacroix entre 1855 et 1861 dans la Chapelle des Saint-Anges. Une restauration récente les met particulièrement en valeur.
Cela faisait un petit bout de temps (35 ans ?) que nous avions envie de (re)voir Rome, nous l’avons fait en ce mois de mai, après avoir choisi une période la plus éloignée possible des grandes célébrations catholiques qui attirent les troupeaux de moutons touristes, des vacances scolaires et des week-ends à rallonge.
Bon ! Rome, comme Paris, semble ignorer la pause touristique, mais il n’en demeure pas moins que c’est une ville magique et … éternelle. Pour le titre de l’article, j’ai hésité entre tous les chemins … les sept collines … unique objet de mon ressentiment … Finalement, rendre hommage au film de William Wyler avec Gregory Peck et Audrey Hepburn m’a paru la meilleure solution puisque ce film est une longue promenade dans Rome et que c’est bien ce que nous avons fait.