Complètement à l’ouest !
Avant de tâter de la canicule à Lyon, j’étais allé goûter à la fraicheur bretonne pour quelques jours. Beau temps, ciel d’azur et mer turquoise.
Avant de tâter de la canicule à Lyon, j’étais allé goûter à la fraicheur bretonne pour quelques jours. Beau temps, ciel d’azur et mer turquoise.
Le pot de Côtes est-il un remède efficace contre les effets délétères de la canicule en milieu urbain ? C’est pour vérifier cette hypothèse que nous nous sommes rendus dans la capitale des Gaules, comme on dit, en plein épisode de chaleurs fin-juilletistes.
Après notre virée à Val-Jalbert, nous sommes de retour à Québec pour la dernière étape de notre périple. Encore deux jours dans la capitale nationale puis nous rejoindrons Montréal où nous avons réservé un hôtel pour la nuit de jeudi à vendredi, avant le vol retour vers Paris vendredi soir.
Nous sommes à mi-parcours de nos pérégrinations canadiennes, nous allons quitter l’Ontario, même si hier nous avons déjà fait une petite incursion au Québec dans le parc Gatineau.
Nous sommes à Cobourg, sur les rives du lac Ontario, en provenance de Niagara Falls et en direction de Kingston. Le lac va encore nous servir d’horizon pendant deux journées. Puis ce sera Ottawa, avec ses chutes et son musée.
Nous avons programmé, en ce printemps, un voyage au Canada pour rendre visite à notre fiston qui, vous le savez, est installé à Québec. Mais nous avons souhaité en voir plus que la Belle Province et notre programme se partage entre l’Ontario et le Québec, avec une arrivée à Toronto et un départ de Montréal, via Ottawa et Québec.
Notre voyage, magnifique de bout en bout, a été ponctué, entre autres, par la visite de quatre chutes d’eau, depuis les Niagara falls jusqu’au Parc de Montmorency à Québec, en passant par les chutes Rideau à Ottawa et celles d’Ouiatchouan à Val-Jalbert près du lac Saint-Jean. Ce récit sera donc composé de 4 articles, un par chute, 2 en Ontario, 2 au Québec …
Ce choix de l’Ontario et du Québec tombe bien, le guide du Routard consacré au Québec s’intéresse également à l’Ontario et aux provinces maritimes. Même si ces dernières sont moins détaillées, il y a suffisamment de renseignements pour trouver où manger, dormir et boire un coup ! Nous avons également acheté les guides Ulysse de l’Ontario et du Québec qui sont bien fichus et nous ont été bien utiles.
Lors de ma dernière visite au Louvre, j’ai regardé de plus près les peintures de Giovanni Paolo Panini (ou Pannini). C’est un artiste baroque italien du 18ème siècle, qui a peint beaucoup de vues réelles ou imaginaires de Rome et de ruines antiques.
J’ai notamment photographié son tableau Le Cardinal Melchior de Polignac visitant Saint-Pierre de Rome dont le cartel précise qu’il a été commandé à Pannini par le cardinal de Polignac, ambassadeur de France auprès du Saint-Siège (1724 – 1732), à l’occasion de la naissance du Dauphin, fils de Louis XV, en 1729.
J’adore faire des comparaisons avant/après et, comme nous avons visité Saint-Pierre de Rome il y a quelques mois, j’ai fait le rapprochement. Les angles de prise de vue ne correspondent pas exactement mais on peut cependant constater qu’en près de trois siècles, le décor n’a pas beaucoup évolué. La preuve en images.
Petite virée hivernale de quatre jours en Europe centrale, plus précisément à Prague, la capitale tchèque surnommée la ville aux cent clochers, mais aussi la mère de toutes les villes ou bien la ville d’or …
Bon, d’accord, j’ai déjà publié un article de ce style il y a quatre ans mais je ne me lasse pas d’admirer les nuages lorsqu’ils prennent des reliefs imposants sculptés par le soleil. Lors de ma dernière virée en Bretagne au mois de janvier, le temps (vent et ciel de traîne) Lire la suite…
À une époque où nous sommes dirigés par des capitalistes sauvages qui font fi de l’Homme, il est utile (mais sans doute utopique) de rappeler que certains esprits éclairés ont cru au progrès technique dans la perspective d’améliorer la société. Ça ne date pas d’aujourd’hui, ça se saurait, mais du 19ème siècle, époque où la société industrielle en devenir enrichissait les bourgeois en oubliant les ouvriers.
Jean-Baptiste André Godin, nourri des théories du philosophe Charles Fourier, fit construire, à partir de 1859, le familistère proche de son usine de poêles en fonte située à Guise en Picardie.
Le Palais social