Voici quelques fresques de street art glanées ici et là entre les mois d’avril et de septembre depuis les rues du Paris confiné jusqu’à Sète et retour par La Défense.
Avant le confinement, C215 a réalisé ce très beau portrait au-dessus du restaurant L’Âge d’or situé près du carrefour rue de Tolbiac – avenue de Choisy. Je le prends en photo au beau milieu de ce carrefour déserté par les bagnoles.
Sur la droite, un plus petit mur accueille des peintures régulièrement changées.
Nos pérégrinations dans le 13e arrondissement nous amènent à découvrir des œuvres que nous ne connaissions pas et qui sont de qualité assez inégale. Mais c’est une question de goût.
Bien entendu, il y a toujours le Lavomatik, galerie de l’art urbain installée le long du boulevard des Maréchaux. Comme d’habitude, le « mur du Lavo », tout proche de l’entrée, offre son espace aux artistes qui viennent régulièrement s’y exprimer. La qualité, ici aussi, est de plus en plus inégale.
Lors de notre petit périple à Sète, voici de jolies fresques que je vous ai déjà montrées.
Retour à Paris, plus exactement sur la parvis de La Défense pour la nouvelle édition de l’Urban Week où quelques street artistes sont invités à venir réaliser leurs œuvres en public. Par rapport aux premières années de l’événement, il y a de plus en plus d’animations, sportives, street foodesques, artisanales, etc. Ambiance sympa dans un coin qui en a bien besoin. C’est mon occasion annuelle de retourner à La Défense.
Voila, ce petit résumé de six mois de street art se termine avec quelques murs du quartier de la Butte-aux-Cailles et son ambiance incomparable.
De nouvelles peintures sont apparues récemment, mais ce sera pour l’article du dernier trimestre du street art qui clôturera l’année 2020 sur ce thème.
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