J’aime bien la nouvelle numérotation des salles du Louvre

Il y a quelques mois, j’avais critiqué les nouveaux plans du Louvre, leur reprochant d’ignorer toute indication de numéro de salle au profit d’un simple aplat de couleur sensé guider le visiteur au travers des collections.

Fort heureusement, la situation s’est améliorée essentiellement grâce à la nouvelle numérotation des salles qui a été mise en place et qui permet un guidage plus simple dans les trois ailes et les quatre niveaux.

Les numéros de salle sont situées en hauteur au niveau des accès

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La collection du margoulin Campana

Ce n’est pas une billevesée de mon correcteur orthographique, j’ai bien écrit margoulin Campana et non pas marquis Campana dans le  titre de cet article, à propos de l’exposition Un rêve d’Italie du musée du Louvre. Je ne fais que rétablir l’ordre chronologique, puisque Giampietro Campana était, dans la Rome du 19ème siècle, un grand bourgeois margoulin, avant d’être aristocratisé en marquis di Cavelli.

Il n’empêche qu’il avait accumulé une impressionnante collection d’objets d’art dont le Louvre, par les hasards de l’histoire et la volonté d’un empereur de pacotille, a hérité d’une grande partie.

expo Collection Campana – Tête de dieu barbu (Jupiter ?)

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Il pleuvait sur Brest ces jours-là, Beatriz

Petit séjour de quatre jours en Bretagne alors que souffle la tempête Beatriz qui nous apporte de violentes rafales de vent et des trombes d’eau. D’où le titre de cet article à nouveau profondément inspiré. Mais à la place de Barbara, vous avez noté que j’invoque une Beatriz : depuis l’année dernière, les instituts météorologiques européens baptisent leurs tempêtes, comme les américains avec leurs ouragans. Donc, Beatriz est celle qui m’a accompagné durant mon périple et mes pérégrinations léonardes.

Les galets de Sainte-Marguerite

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Venise éblouit le Grand Palais !

Le Grand Palais célèbre le dix-huitième siècle à Venise. C’est le dernier siècle de gloire de la Sérénissime qui avait déjà perdu de sa superbe, elle n’était plus la puissance commerciale, donc politique, qu’elle était depuis le Moyen Âge.  En outre, Bonaparte (et après lui Napoléon) mettra un terme à huit siècles d’indépendance, avec toute la délicatesse qu’on lui (leur) connaît.

Mais c’était encore une ville élégante et raffinée, éblouissante quoi ! qui avait une grande influence sur les arts en Europe, donc dans le monde, et c’est ce dernier âge d’or que le Grand Palais veut nous montrer.

expo Éblouissante Venise – Sebastiano Ricci – Tête de vieillard barbu – vers 1724-1734

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Collections privées au musée Marmottan

Les collections du musée Marmottan Monet sont toutes issues de legs et de dons, provenant de “généreux donateurs” comme on dit, depuis Paul Marmottan, l’initiateur, jusqu’aux descendants de Claude Monet ou de Berthe Morisot. Il se définit lui-même comme le musée des collectionneurs et estime tout naturel de rendre hommage à ces “amateurs” en proposant des expositions mettant en lumière leurs collections privées, comme celle qui se déroule actuellement sous cet intitulé.

Marmottan Monet – expo Collections privées

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La nouvelle vague des estampes japonaises

La Fondation Custodia propose, jusqu’au début de l’année prochaine, une très intéressante exposition sur les Estampes japonaises modernes de la période 1900-1960, aussi intitulée Vagues de renouveau.

Les 220 œuvres présentées, produites par une cinquantaine d’artistes depuis le début du XXème siècle, illustrent la grande variété des styles et des thèmes d’inspiration de cette nouvelle vague, portée par les courants artistiques shin hanga (“nouvelle estampe”) et sōsaku hanga (“estampe créative”).

Fodation Custodia – affiche de l’expo Vagues de renouveau – estampes japonaises modernes 1900-1960 – Ito Shinsui – Miroir à main – 1954

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Alfons Mucha au musée du Luxembourg

Ça fait quelques semaines que je n’ai pas rendu compte de visites de musées ou d’expositions hormis lors de nos pérégrinations en Ontario, au Québec, à Lyon et à Marseille. Mais d’expositions parisiennes, rien depuis Foujita, alors que sur mes tablettes, à ce jour, il y en a au moins huit à raconter.

Commençons par la plus récente, celle sur Alfons Mucha au musée du Luxembourg.

Exposition Mucha au musée du Luxembourg

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Deux nuits au Panier

Ça ressemble à “Deux nuits au gnouf”, mais non, nous n’avons pas été embastillés durant deux nuits pour avoir défendu la cause des retraités malmenés par le pouvoir à la solde du patronat, des banquiers et des nouveaux riches. Ces “deux nuits au Panier” sont plus simplement le résultat d’une courte pérégrination de 3 jours à Marseille, pendant laquelle nous avons logé dans une très sympathique et néanmoins historique maison d’hôtes située dans l’emblématique quartier du Panier.

Le clocher des Accoules au bout d’une ruelle du Panier

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