La collection du margoulin Campana

Ce n’est pas une billevesée de mon correcteur orthographique, j’ai bien écrit margoulin Campana et non pas marquis Campana dans le  titre de cet article, à propos de l’exposition Un rêve d’Italie du musée du Louvre. Je ne fais que rétablir l’ordre chronologique, puisque Giampietro Campana était, dans la Rome du 19ème siècle, un grand bourgeois margoulin, avant d’être aristocratisé en marquis di Cavelli.

Il n’empêche qu’il avait accumulé une impressionnante collection d’objets d’art dont le Louvre, par les hasards de l’histoire et la volonté d’un empereur de pacotille, a hérité d’une grande partie.

expo Collection Campana – Tête de dieu barbu (Jupiter ?)

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Dans la famille Nadar …

… je voudrais le père, le frère et le fils.

À la BnF, site Tolbiac, se déroule actuellement une exposition sur la famille  Nadar. Jusqu’à présent, je connaissais surtout Félix Tournachon, dit Nadar, le père. L’intérêt de cette exposition est de nous faire découvrir, en outre, le frère Adrien et le fils Paul qui furent aussi des photographes talentueux. On n’oublie pas non plus de saluer l’épouse Ernestine qui a été la cheville ouvrière de l’entreprise Nadar.

expo Les Nadar – une légende photographique

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Venise éblouit le Grand Palais !

Le Grand Palais célèbre le dix-huitième siècle à Venise. C’est le dernier siècle de gloire de la Sérénissime qui avait déjà perdu de sa superbe, elle n’était plus la puissance commerciale, donc politique, qu’elle était depuis le Moyen Âge.  En outre, Bonaparte (et après lui Napoléon) mettra un terme à huit siècles d’indépendance, avec toute la délicatesse qu’on lui (leur) connaît.

Mais c’était encore une ville élégante et raffinée, éblouissante quoi ! qui avait une grande influence sur les arts en Europe, donc dans le monde, et c’est ce dernier âge d’or que le Grand Palais veut nous montrer.

expo Éblouissante Venise – Sebastiano Ricci – Tête de vieillard barbu – vers 1724-1734

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Collections privées au musée Marmottan

Les collections du musée Marmottan Monet sont toutes issues de legs et de dons, provenant de « généreux donateurs » comme on dit, depuis Paul Marmottan, l’initiateur, jusqu’aux descendants de Claude Monet ou de Berthe Morisot. Il se définit lui-même comme le musée des collectionneurs et estime tout naturel de rendre hommage à ces « amateurs » en proposant des expositions mettant en lumière leurs collections privées, comme celle qui se déroule actuellement sous cet intitulé.

Marmottan Monet – expo Collections privées

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La nouvelle vague des estampes japonaises

La Fondation Custodia propose, jusqu’au début de l’année prochaine, une très intéressante exposition sur les Estampes japonaises modernes de la période 1900-1960, aussi intitulée Vagues de renouveau.

Les 220 œuvres présentées, produites par une cinquantaine d’artistes depuis le début du XXème siècle, illustrent la grande variété des styles et des thèmes d’inspiration de cette nouvelle vague, portée par les courants artistiques shin hanga (« nouvelle estampe ») et sōsaku hanga (« estampe créative »).

Fodation Custodia – affiche de l’expo Vagues de renouveau – estampes japonaises modernes 1900-1960 – Ito Shinsui – Miroir à main – 1954

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Alfons Mucha au musée du Luxembourg

Ça fait quelques semaines que je n’ai pas rendu compte de visites de musées ou d’expositions hormis lors de nos pérégrinations en Ontario, au Québec, à Lyon et à Marseille. Mais d’expositions parisiennes, rien depuis Foujita, alors que sur mes tablettes, à ce jour, il y en a au moins huit à raconter.

Commençons par la plus récente, celle sur Alfons Mucha au musée du Luxembourg.

Exposition Mucha au musée du Luxembourg

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Regard sur les cadres du Louvre

Il y a peu, je me suis un tantinet moqué du Louvre qui exposait un cadre vide là où un Pierre-Paul Rubens trônait peu de temps avant. J’en profite pour signaler que Thomyris, reine des Scythes, fait – de nouveau – plonger la tête de Cyrus dans un vase rempli de sang …

Mais le propos de cet article n’est pas vraiment là. Le Louvre a la bonne idée de proposer aux visiteurs un « regard sur les cadres ».

Le département des Peintures mène actuellement un programme d’étude et d’inventaire de son exceptionnelle collection d’environ 9000 cadres anciens. Une sélection de cadres, rivalisant d’inventivité et de virtuosité technique, est exposée pour la première fois au Louvre, occasion pour le public de découvrir ces chefs-d’œuvre méconnus et de porter un nouveau regard sur leur rôle dans l’appréciation de la peinture.

expo sur les cadres

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Les pastels du Louvre

Le musée du Louvre présente actuellement une exposition consacrée à sa collection exceptionnelle de pastels européens des 17ème et 18ème siècles,  En société – Les pastels du Louvre. En raison de l’extrême fragilité des œuvres, elles ont rarement été montrées au public et c’est un vrai bonheur de pouvoir admirer le génie des artistes qui ont excellé dans cette technique.

exposition Pastels du Louvre – Joseph Ducreux

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Foujita, les années folles à Paris

Moi, j’aime bien apprendre des choses. L’univers des musées et des expositions m’en offre l’occasion chaque jour. J’avais déjà repéré à l’arrière des bus parisiens (à chacun ses références) une drôle de binette avec des lunettes rondes qui annonçait une exposition sur un artiste qui m’était totalement inconnu, Foujita. Cette exposition, au Musée Maillol, a donc été une opportunité de réparer cette lacune.

La preuve en images.

Tsuguharu (puis Léonard) Foujita (1886-1968) – autoportrait au chat – 1928

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