Jusqu’au milieu de cette année, je  faisais mes photos en JPEG avec le sentiment de passer parfois à côté de quelque chose, en lisant les conseils et expériences de photographes aguerris tous favorables au format Raw. Ma réticence tenait à deux raisons principales :

– la place occupée par des fichiers de plus 20 Mo pièce,

– la nécessité d’acquérir une compétence dans le développement des fichiers Raw pour pouvoir exploiter à minima ses photos.

Donc, comme le jeu ne me paraissait pas en valoir la chandelle étant donné mon niveau photographique, je me contentais de tirer en JPEG et cela me convenait parfaitement. Tout cela, c’était avant que je découvre Lightroom et son flux de travail absolument génial : l’original de la photo n’est jamais modifié, tous les traitements sont simplement enregistrés et « rejoués » à chaque appel de la photo. Donc, ça libère de la nécessité de jongler avec des versions plus ou moins modifiées et améliorées.

De plus, Lightroom dispose d’un module de développement intégrant Camera Raw et très bien pensé en terme d’ergonomie et de performances. Cela m’a incité à aller voir comment tout cela fonctionnait et à me faire mon idée personnelle sur la question.

Quelques essais plus tard, je n’avais plus aucun doute sur l’intérêt du Raw en raison des traitements et des « rattrapages » possibles et comme tout cela rentrait dans le cadre d’un flux de travail très opérationnel avec Lightroom, j’ai franchi le cap.

Et comme ça me prend beaucoup plus de place sur les disques durs, eh bien ! je fais plus de tri à chaque séance.

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